Ski Jump & Oakley Artic Challenge

lundi 8 mars 2010

Je vous ai manqué... je sais ! Mais ne vous inquiétez pas, je reviens avec du lourd et du bien sympathique. J'ai nommé l'inauguration du Ski Jump à Holmenkollen et l'Oakley Artic Challenge. Let's begin with the first one, will you ?

Oslo va hoster les championnats du monde de sports d'hiver en 2011. Vous vous doutez bien que l'effervescence est au rendez-vous et que nos petites têtes blondes se sont pliés en quatre pour faire tout ça de la meilleure manière qui soit. Je ne connais pas tous les détails, mais le ski jump de Holmenkollen a été revisité. Pour information, il faut quand même savoir qu'il se situe à 350 mètres au-dessus de la mer, ce qui calme quand même nos amis des Alpes vu que nous avons toujours de la neige actuellement (et qui calme également nos amis Ardennais, qui se disent qu'ils pourraient avoir plus de neige s'ils changeaint de lattitude). La tour quand à elle s'élève à 60 mètres, ce qui est plutôt impressionant.






Pour information, les "sièges" sont en bêton... Une marque de l'intelligence suprême des Norvégien puisqu'il y a moyen de se geler le cul sans problème pendant toute la durée du spectacle. Si d'aventure vous décideriez d'aller voir un ski-jump contest, pensez à prendre un pantalon de ski, des trucs chauds dans un thermo, vos gants de ski, et un mousse pour protéger votre royal postérieur.

Je vous donne en vrac quelques photos pour le plaisir des yeux.






Il faut savoir que c'est quand même vachement impressionant... En gros on entend le son d'une fusée (artificiel, ce ne sont pas les skis qui font ça) et puis on voit le peye apparaître bien haut dans le ciel pour finalement tomber sur la piste. Ce qui est le plus flagrant c'est quand on se trouve à la ligne de "départage", en gros où les mètres à gagner deviennent sensibles. La première a fait 106m, le record est à 148m si je ne m'abuse. Une autre chose remarquable est qu'ils vont tous à la même vitesse quasi (entre 89.7 et 90.2), celui qui va le plus loin n'étant pas toujours celui qui va le plus vite...







Les photos du Oakley Artic Challenge dans un prochain post...

What's up ?

vendredi 19 février 2010

Cela fait un petit temps que je n'ai pas donné de nouvelles... Et pour tout ceux qui sont déprimés de ne pas en avoir, je prends mon courage à deux mains (et mon clavier aussi d'ailleurs) pour vous écrire quelques mots (enfin j'en ai mis que quelques pour le moment, mais comme je me connais je vais encore écrire une tartine, en plus y'a pas mal de choses à raconter...).

Choix tactique, je vais tout faire en un post, comme ça je dois pas me retourner le cerveau pour savoir si dans quel sens je dois raconter mon histoire parce que les post sont triés par ordre chronologique.


Commençons par le commencement avec cette image. Je ne sais pas si ça a un rapport, mais la veille je devais me plier à un "Emile montre-nous tes couilles". En fait, pour la petite histoire, dans toutes les librairies / small shops (et dieu sait qu'il y en a beaucoup), on peut acheter des hot-dogs. Cette semaine, la promotion était une bonne grosse bite pour 25 kr, avis aux amatrices, il doit rester quelques jours de promotion....

Ce qui nous amène à un peu plus de sérieux et notre trip à Copenhague. Le concept : on part sur un bateau de croisière vers Copenhague, on se saoûle évidemment pour pas (trop) cher, on reste deux nuits sur place et on revient. J'avoue que je n'avais pas organisé grand chose dans ce voyage et vu tout le boulot que j'avais, je n'étais pas trop au courant des détails techniques. Conséquence : j'apprends le jeudi que je rentre le lundi matin et non le dimanche soir. Toujours sympathique à savoir quand on sait que j'ai un case à rendre pour ce même jour. Mais tout ça ne va pas gâcher mon trip, direction le "Sea buffet".


Et oui, voilà de quoi redonner envie de manger à une anorexique. En gros le buffet super classe, avec de la bonne nourriture en quantité illimitée. Mauvaise décision stratégique cependant, je n'étais pas spécialement dans mon assiette, sans vouloir faire de jeux de mot vaseux, et je n'ai pas tellement pu profiter du buffet illimité. J'en profite en même temps pour vous présenter Sarah des US, qui apparemment rayonne (et oui elle a tout mangé et elle s'est même resservie).



Bon évidemment, difficile de résumer quatre jours de folie en un post, je me tiendrais donc aux faits les plus marquants en vous mettant quelques photos en vrac.





Les gardes danois. Ils étaient marrants mais rien à voir avec les gardes britanniques. Encore un peu, on a cru qu'un allait se gratter les fesses. Ils n'ont apparemment pas comme ordre de ne pas bouger. Sarah (from Sweden cette fois, la fille sur la photo plus haut) a voulu aller faire une photo avec lui. Pas de chance, c'était pil à 15h où tous les gardes font une petite promenade. En gros, elle s'approche et le type commence à bouger et claquer son fusil à terre avant de faire un petit show protocolaire et quelques pas... Après elle osait plus s'approcher, un peu traumatisée.


Je vous présente le must be seen à Copenhague : la sirène. Il faut croire que les danois aiment bien décevoir, et pas rien qu'avec leur bière (oui pour ceux qui ne le savent pas la Carlsbergh est danoise). En gros, il faut se taper une demi heure de marche (même s'il faisait chaud, -2°C), pour finir par voir une statue miniature qui pose sur un rocher. Si Steve Jobs a réussi à me faire acheter un Mac, on peut dire que les danois ont encore fait plus fort en me faisant déplacer jusque là pour ça. Pour la peine, j'ai quand même sous pesé une poitrine de sirène, mais à mon avis elle était refaite, ça faisait pas trop naturel. On a quand même préféré la grosse statue de la femme au fouet avec les quatre taureaux (ouep désolé, on avait pas le guide touristique).




Je terminerai en annonçant un des soirées les plus chères de ma vie : le samedi soir, on est sorti dans un bar où j'ai dépensé une somme assez importante (que je ne révélerai pas pour ne pas choquer nos amis lecteurs).  Bon j'avoue, ce qui fait le plus mal c'est de ne pas se souvenir ce qu'on a acheté avec cette monnaie sonnante et trébuchante. Et je vous livre encore une petite image en furte ;)



Ce qui nous amène à ma deuxième série de photos : ski de fond avec mon colloc'.


Voilà donc la fameuse wax que l'on doit mettre pour ne pas glisser dans les montées. Il faut tout de même remarqué que je vais faire du ski avec un asiatique, qui n'avait jamais vu de neige de sa vie avant de venir en Norvège...




Me voilà donc en train de galérer en voulant mettre mes skis.



Vous remarquerez que j'ai tombé la veste... C'est pas pour dire mais on l'a fait plutôt intense et avec la veste il faut plutôt chaud. En gros, on se retrouve en sous-pull/pollard par -8°C, l'idée est sympa.


Voilà donc mon colloc', Keith pour les intimes. En gros, je suis plutôt bien tombé. Il est assez flex et connait des tours de magie pas mal. Peut-être qu'en rentrant, je saurai vous en faire deux trois. Remarque : quand un chinois boit, il devient rouge assez vite.







L'histoire est fun : le cheval était genre à 100m de nous. Une fois que j'ai sorti mon sandwich, il est quand même venu nous faire coucou. C'est à ce moment que l'on regrette de pas avoir pris son caducée.

Direction la luge...




On m'avait prévenu : la luge est sans doute le truc le plus cool à faire en Norvège. En gros, on descend à +/- 40 km/h sur une piste de luge et on remonte en bus. L'idée est assez géniale. Le problème est que le terrain est pas tout à fait lisse comme une peau de fesse et sauter sur des bosses à plus de 30 km/h, ça fait mal au fion quand on retombe. Si on ne peut en faire qu'une fois par semaine, on retiendra quand même que j'ai beaucoup trop kiffé et que j'y retournerai sans aucun doute...


Je finis en vous présentant un tacos original : poulet, sauce tacos, fromage de chèvre, tomates et salade. Ceci pour vous montrer que oui, on mange bien Norvège, c'est juste que ça coûte cher.

Je vous laisse ici mes amis, j'ai eu une dure soirée hier (pendant laquelle on m'a piqué mon portefeuille, pas cool...) et j'ai un midterm lundi, plus quelques cases à préparer. Ouais c'est plutôt chiant la charge de travail qu'on a ici. Rien n'est difficile, mais c'est long à faire...

(PS : Le caducée est sorti sur le site du cercle ;) )

Chinese surprise !

mardi 2 février 2010

Replaçons tout ça dans le contexte... Dimanche soir, préparation d'un case jusque 1h du matin. Debout à 7h30 pour aller en cours... jusque 18h30, sans pause (et oui publique, je sais encore le faire). Après celà j'enchaîne sur une réunion pour aller parler de ce case avec les deux Norvégiennes de mon groupe, jusque 21h. Pour les plus perspicaces d'entre vous, cela fait effectivement 12h dans cette belle institution qu'est BI.

Il faut dire que les Norvégiennes, en tout cas ces deux-là, ne sont pas particulièrement efficaces. On finit par convenir que je travaille sur le case ce soir et que je leur envoie une partie du travail. Le temps de manger & tout le tralala, rebelotte au lit à 1h du matin. Je craque complètement quand je vois mon réveil sonner à 10h30 et repousse l'échéance jusque midi.

Je vous le donne dans le mille, mon cours du mardi bien chiant ne m'a pas déçu. En fait, il était peut-être intéressant mais j'ai préféré bosser sur le site du cercle (rubrique offre d'emplois) pendant les trois heures de cours. On finit le case après ça (et oui mes amis, plus de 7h pour écrire trois pages en interligne 1,5... qui parlait de l'efficacité norvégienne ?) et je rentre chez moi un peu crevé avec une seule envie, ou plutôt deux : manger et aller aux toilettes (je vous le donne dans le mille, la grosse / amateurs de fraîcheur bonjour).

Mais pourquoi ce 3615 je raconte ma life ? Pour partager avec vous un moment d'étonnement et pouvoir vous replonger (peut-être) dans le même état que j'étais lorsque je suis rentré chez moi et que j'ai vu mon colloc avec 13 de ses acoolites chinois se faire une petite bouffe entre eux.


Implications : pas de toilettes et pas à manger en suffisance. Evidemment ils m'ont proposé à manger, mais si j'avais du me rassasier, vous vous doutez que j'aurais manger comme deux chinois (on sait mettre deux chinois dans un Emile, photo à l'appui bientôt).

Enfin je vous laisse, on dirait qu'ils sont bientôt partis et que je vais pouvoir faire mes "stuffs".

Visite du port & co

samedi 30 janvier 2010


Visite du port... Jamais crû que ce serait aussi difficile d'arriver à un port. En gros, on part avec l'idée "Bah on regarde sur la carte la station de métro la plus proche de l'eau et on y va". Le concept paraît logique, la réalisation n'est pas toujours aussi évidente. En gros, on a réussi à se retrouver sur une sorte "d'île" entourée par une autoroute (comprenez par là : je passe la passerelle, je fais le tour du bâtiment qui est énorme et puis je repasse cette même passerelle). On arrive finalement nez-à-nez avec l'Opera (il faut avouer qu'il claque bien),... et des bateaux de croisières. Ok, c'est sexy mais nous ce qu'on voulait c'était les beaux bateaux à voile. Bref, on se dit qu'on ferait bien de regarder dans le guide touristique.


Il faut avouer que ça a de la gueule quand même... Pour rappel, il est bien 16h00, pas plus tard. On a tous les jours droit à un magnifique couché de soleil, suivit d'un immense coup de pompe une ou deux heures plus tard (on a l'impression qu'il est minuit... on check la montre "Ah c'est bon, il est 18h, on doit encore tenir 4h debout).


Heureusement que j'ai un frère qui touche un peu sa croute en photo et qui m'a dit un jour que quand on faisait du contre-jour, il fallait mettre un flash (non je vous montrerai pas les photos où on est tout noir !)






Musée du prix Nobel. On pose l'oreil sur le téléphone à l'entrée en se disant qu'Obama a sûrement fait le même bête photo avec le même sourire bête (pas sûr qu'il a tiré la langue par contre). Ceci dit, l'entrée payante nous a fait repoussé la visite à une autre fois.




Non ce n'est pas le soleil qui revient. Tout simplement des photos du lendemain classés dans ce post, listé par ordre chronologique.






Quand on arrive à Oslo, après une semaine on se rend demande une chose : "Mais qu'est-ce que je fous ici ?" Il faut dire que la bière à 5-6€ fait mal au fion (si je peux me permettre), la bouffe bien chère, le soleil qui pointe son nez que quelques heures par jour... On m'a alors dit "Mais pour les paysages voyons."

Et il faut dire qu'en cherchant on trouve des trucs cool. Le ski de fond (je vais peut-être même récupérer une condition physique), les paysages qui sont quand mêmes vachement beau, la luminosité du soleil accentuant le tout. Et puis pas mal de trips sont prévus : Copenhague le week-end prochain, république tchèque,... en gros, voyager dans une capitale européenne pendant un week-end coûte presque aussi cher que rester un week-end à Oslo : ça donne envie de voyager (ou comment avoir la positive-attitude).

En espérant que vous avez aimé les quelques posts, je vous dis à bientôt pour de nouvelles aventures !

Visite du musée de la résistance et la forteresse d'Akershus

On était plutôt étonnés de voir le musée de la résistance en Norvège. Comme dirait l'autre "Je n'étais même pas sûre qu'ils ont participé à la guerre"... Et pourtant si ! Allez vous serez sans doute moins inculte à la fin de cet article. Je vous raconte les choses qui m'ont marqué.



Etant donné ma culture artistique médiocre, je ne connais pas Edvard Munch. Il a l'air assez balaise en Norvège puisqu'il y a un musée à son nom à Oslo. Anyway, ce tableau est "Le Semeur", symbole du peuple norvégien qui "construit la paix envers et contre tout". Un beau blabla quoi, mais je le trouvais assez balaise.


Invasion de la Norvège par les Allemands le 9 avril 1940. Les fusils sont sencés representer une croix nazie, mais je me dis que le type avait un peu bu quand il a voulu faire la forme. Et vous pouvez voir un papier au bout d'une baïonnette, qui est en fait l'ultimatum allemand au gouvernement norvégien.





Comme la plupart des pays, la Norvège ne s'est évidemment pas rendue directement. Il faut savoir qu'ils ont quand même explosé le gros Cruiser allemand, apparement un des joujou préféré d'Hitler. Le sud a très vite perdu, le Nord a tenu un peu plus longtemps. Dans tous les cas, c'est le 10 juin que roi embarque pour l'Angleterre en capitulant. Evidemment, il va continuer son combat de là-bas.




Pour ce qui est de la suite, la deuxième guerre se ressemble plus ou moins dans tous les pays. Résistance, camps de concentration, torture,... rien de très fun. Comme faits marquants, on peut noter que des soldats étaient envoyés en Angleterre pour être entraînés et ensuite revenir en groupe commandos pour mener des opérations de sabotage.

Une des choses les plus remarquables, et qui explique sans doute le protectionnisme norvégien et leur volonté de pouvoir vivre en quasi-autarcie, est un petit graphique qui montre l'évolution des apports journaliers moyen par habitant. My bad, je ne l'ai pas pris en photo mais je vous donne le résumé : 2.700 calories par jour en 1941, 2.000 en 1942. Evidemment, gros rassionnements, chaînes devant les magasins à la communiste. Je sais qu'il y avait la même chose dans les autres pays mais je ne crois pas que ce soit si fort. Dans tous les cas, un quart de leur calories provenait de produits laitiers et dérivés en 1940, et sont inexistants en 1941. Ils étaient également complètement dépendants niveau sucre, avec 100% du sucre consommé importé. Ceci était le petit moment économie. Mais étant donné qu'ils avaient consacrés une partie de leur musée rien qu'à ça, je me suis dit que ça devait sans doute avoir une certaine importance.

Si votre QI n'a certainement pas augmenté lors de la lecture de cet article, j'espère quand même que vous avez fait quelques connexions synaptiques sympathiques...

J'oubliais... Quelques photos de la forteresse d'Akershus (en changeant une lettre, on peut tomber sur un joli truc). En gros, forteresse du Moyen-Âge rénovée au temps des lumières dans le style français, ça donne un style assez sympathique. Malheureusement, c'est plus ou moins difficile d'avoir une photo avec du recul avec toutes les habitations autour et les grands murs. J'essaierai d'avoir quelque chose de mieux cadré la prochaine fois.







Premiers pas en ski de fond

Depuis que mon (gros) reflex a été importé à Oslo, j'ai pu faire quelques photos... Je vais commencer par le ski de fond.

Commençons par le commencement : quand j'ai été loué mes skis de fonds, un gentil monsieur m'a dit que je devais mettre de la wax frictionnelle sur mes skis. Pourquoi donc ? Excellente question, merci de l'avoir posée. En gros, quand j'ai fait du ski de fond pour la première fois, la semelle du ski avait des sortes de petites dents pour qu'ils glissent dans un sens mais pas dans l'autre (comprenez par là pour ne pas avoir de problème dans les montées). Ici, tout le ski est lisse comme une peau de fesses. On doit alors mettre de la wax frictionnelle sur la moitié du ski pour qu'il glisse moins dans les montées.
J'avais acheté le matos, donc pas de problème, je mets la wax sur mes skis. Par contre, les skis qu'une aimable chinoise avait prêtée à Aurélie était du genre "impeccable tout neuf". Etant donné que pour mettre de la wax, la première opération est de frotter les skis énergiquement avec un côté rugueux d'une "éponge", créant ainsi des belles petites stries dans les skis, j'étais middle chaud de le faire sur les skis tout neufs.
Ce qui nous pousse à la première descente. Vous vous en doutez, bien que je ne sois pas sexiste, la fois où ce sera une fille qui se lancera en premier vers l'inconnu n'est pas encore venue. Sauf si elle se promène avec deux uzis et une énorme paire de seins évidemment. Je m'élance donc dans la première descente. Physique élémentaire, mon coefficient de frottement est bien plus grand que celui de madame vu qu'elle n'a pas de wax frictionnelle. J'entends alors un "avance !", juste après quoi je vois deux petits skis qui arrivent à ma hauteur, suivis d'un "Ouch" accompagnant un arrêt brutal de ceux-ci. Vous l'aurez compris, elle aura mal à ses fesses pendant la première heure de ski de fond.
Viens alors la partie marrante... On trouvait que ça montait quand même vachement. Ou plutôt que ça montait tout le temps et que ça descendait rarement. On se dit quand même un moment donné que la descente sera quand même vachement grande, étant donné qu'on voyait quand même quelques peyes qui descendaient vachement vite. Je tuerai le suspens ici en vous disant qu'une fois arrivé en haut, "the shortest way to the T-ban is where you are coming from" (pour ceux qui sont fâchés avec l'anglais : "Le métro le plus proche, c'est d'où vous venez..."). Allez, il ne lui aura fallu que deux gamelles pour se arriver à délivrer un ski de fond de qualité (et ceci est sans ironie aucune,... elle faisait ça tellement bien que je ne voulais pas faire de pause et risquer qu'elle perde du niveau).
La suite des aventures dans les prochains posts...






Je vous présente quand même en star guest Martin qui est au centre. En gros, le type ne comprend pas comment des gens peuvent aller au McDo, il mange blindax de riz et toujours très sainement. Of course, il fait plein de sports. Is he real ? Excellente question...